Il n’y a pas que la vitesse qui compte
Aujourd’hui, j’aimerais me pencher avec vous sur la question du choix du navigateur web. Pour résumé, c’est un peu comme si je vous demandais quelle voiture choisir si on veut être le plus écolo possible (oui je sais c’est le vélo ^^)…et ben pour les navigateurs, c’est un peu la même histoire. Même si ça peut nous paraitre étrange au premier abord puisque nous voulons seulement aller sur internet, Chrome, Firefox, Opera, Microsoft Edge ou Safari ont bien plus de différences que leurs noms et leur vitesse de navigation.
Pour faire simple, la plupart sont en fait de véritable 4×4 quand il s’agit de contrôler le résultat de son activité sur internet. La navigation privée ne change rien et ne vous protège absolument pas. Ce système est utile seulement pour ne pas laisser de trace (suppression des cookies et pas d’historique )sur un appareil partagé. C’est un bon moyen pour que vos activités sur le Web ne puissent être surveillées par vos proches mais ça n’empêche pas de faire remonter tout un tas d’informations aux entreprises à l’origine de ces navigateurs.
L’open-source, il n’y a que ça de vrai…
Au moment de m’intéresser au sujet, j’utilisais Opéra qui fait pas mal de choses pour vous permettre de contrôler vos traces. Mais finalement, en creusant un peu, je me rends compte qu’il est loin d’être aussi vertueux que Mozilla Firefox (ou d’autres comme Tor Browser).Au-delà d’être open-source, c’est à dire d’être développé gratuitement, librement et surtout sans intérêts financiers, le navigateur Firefox entend mettre au coeur de sa politique la préservation de la vie privée des utilisateurs avec, dans le désordre:
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La possibilité d’effacer ses traces à tout moment
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La protection contre le pistage
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Ou encore une connexion sécurisée en permanence
Bref, autant de raisons de passer du bon côté de la force pour arrêter de constamment regarder par-dessus son épaule quand on surfe sur internet afin de vérifier si personne ne nous surveille malgré nous.