Un continent de plastique trois fois grand comme la France
Dans les médias, on entend beaucoup parler du continent de plastiques avec près de 79 000 tonnes de plastiques, 1,8 million de morceaux et une superficie équivalente à trois fois la taille de la France. Pourtant, ce n’est que la phase émergée du problème. Ce que l’on ne voit pas, ce sont les milliers de particules de plastiques invisibles à l’oeil nu, appelées micro-plastiques. Ces particules sont ingérées facilement par les organismes marins avant de finir dans nos assiettes, dans le poisson ou le sel de mer. La situation est donc certainement bien plus grave que ce que les morceaux de plastiques qui flottent à la surface peuvent nous laisser penser. Heureusement, j’ai une bonne nouvelle pour vous. On peut éviter qu’une grande partie d’entre eux ne terminent dans l’océan… grâce à un simple sac !
Il y a bientôt 2 ans, je découvrais la marque Hopaal, des vêtements recyclés et fabriqués en France, idéal pour prendre soin de la planète en style. C’était sans compter l’impact de ces nouveaux vêtements lors de leur lavage. En effet, lorsque l’on lave des vêtements contenant des fibres synthétiques, comme le polyester, l’acrylique ou le nylon dont certaines sont présentes dans les vêtements recyclés, des micro-fibres sont libérées et finissent dans l’océan après avoir passé sans encombre les stations d’épuration, incapables de les intercepter… sauf si vous utilisez un Guppyfriend bag.
Un sac qui retient 35% des micro-plastiques
Un Guppy… quoi ? Un Guppyfriend bag, c’est un grand sac de lavage qui permet de limiter la fuite de micro-fibres dans la nature. Si tout le monde l’utilisait, il permettrait d’éviter 35% des micro-plastiques qui se retrouvent directement dans l’océan, soit plus de 500 000 tonnes de micro-plastiques par an. En plus, il protège les vêtements en réduisant les frottements pouvant provoquer le boulochage et évite ainsi de renouveler sa garde-robe trop souvent.
Je l’utilise désormais à chaque machine. Après avoir vérifié les étiquettes de mes vêtements, j’y glisse tous ceux qui contiennent des fibres synthétiques, en prenant bien soin de ne pas trop le remplir. Je place les autres vêtements à côté, comme je le ferais sans le sac. Une seule question reste sans réponse aujourd’hui : que faire des micro-fibres qui s’accumulent au fond du sac après plusieurs machines ? Pour le moment, vous pouvez soit les mettre à la poubelle et elles finiront sans doute enfouies ou brûlées, soit les garder dans un bocal en attendant de trouver une solution plus satisfaisante.
Vous l’aurez compris, il n’y a rien de plus simple pour protéger l’océan : rendez-vous sur le site d’Hopaal pour commander votre nouveau sac de lavage. Il vous coûtera seulement 30 euros et vous permettra d’épargner l’océan d’une invasion de micro-plastiques !